S’ils pouvaient parler…
Chaque 29 février, les collections du MAH se réveillent en secret
Nous sommes dans quelque sous-sol –discret à défaut d’être secret– où s’alignent, dans de sombres couloirs fermés par de lourdes grilles que vient parfois illuminer l’éclat blafard d’un néon, des armoires coulissantes dont les entrailles bardées de rayonnages croulent sous le poids d’un patrimoine mal aimé.
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