Le colosse carougeois
Une amitié solide comme un roc
Durant l’été 1915, Ferdinand Hodler part en cure à Néris-les-Bains dans l’Allier, petite ville d’eau proche de Vichy. Officiellement, il va y soigner ses rhumatismes. En réalité, il souffre d’asthme, rattrapé par la faiblesse de poitrine familiale en ces temps de deuil: en janvier, il a perdu Valentine, son grand amour dont il a peint inlassablement la maladie, l’agonie puis la mort.
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